Au printemps 2021, lorsque les médias ont révélé que les dépouilles d’enfants autochtones avaient été découvertes sur le site d’un ancien pensionnat autochtone, Danielle Robinson ne savait pas comment se sentir. Durant les jours qui ont suivi, elle s’est abstenue de réfléchir à cette nouvelle et d’en parler. D’origine anichinabée, Danielle travaille pour la Croix-Rouge canadienne depuis août 2020 et met au service de l’organisation son expérience personnelle et son expertise en santé publique acquise au deuxième cycle.